F.A.Q

Tableaux

Puis-je suspendre et dans quoi ?

Nos fixations, chevilles ont des côtes de sécurité poids de 3 fois le poids de la cuve en eau minimum. Il en va de même pour les câbles de suspente. Pour révélation et l’o, il est possible de les suspendre dans un béton, un hourdis voire dans une poutre en bois si elle est saine. On peut également fixer sur une barre d’acier dans un toit, dans un grenier ou un faux plafond.
Pour nemo il est indispensable d’avoir un béton armé ou vibré récent. Pour les fixations murales, il est nécessaire pour les deux premières tailles de tableaux, d’avoir un support en dur… Lorsqu’on ne peut connaître la nature du support il est important de forer à petit diamètre et déterminer ainsi sa nature. Ne pas hésiter lorsque cela est possible de faire appel à notre expertise pour déterminer la faisabilité d’un projet.

Trop petit ou étroit pour la vie ?

Certains poissons ont besoin de grands espaces (taille / pélagiques), d’autres de territoires de chasse (prédateurs) ou encore de territoires où exprimer leur agressivité vitale à leur survie (cichlides)… Bien évidemment de nombreuses espèces, qui rentrent dans ces catégories notamment, ne pourront s’adapter aux aquariums tableaux.

Aqualia Design Group teste depuis 2000 un grand nombre de poissons, issus de l’élevage principalement, souvent de petites tailles et grégaires, pour être certain qu’ils puissent vivre un temps normal dans un aquarium tableau. Ainsi ce sont dégagées des populations types qui ne représentent pas un très grand nombre d’espèces mais qui associées représentent un grand nombre de couleurs et d’intérêt pour un aquarium tableau.

Il en est de même pour votre plantation. Et, s’il reste une possibilité de choix interchangeables, et une facilitation due aux sols spéciaux que nous utilisons dans nos aménagements, on ne peut utiliser qu’un nombre restreint de plantes qui conviendront à ces écosystèmes.

ADG, au travers du distributeur de nourriture automatique et du micro programmateur d’éclairage, répond à deux sources fréquente de déséquilibre des aquariums. En effet le trop ou le peu, surtout sur de petites cuves sont nocifs à moyen terme pour la population d’un écosystème. Il est difficile de mesurer, surtout pour un néophyte, le dosage exact de lumière et de nourriture. En faisant disparaître cette intervention humaine et en la rendant automatique, on simplifie la gestion globale du microsystème.

Mon poisson est-il heureux ?

Comment mesurer le bonheur d’un poisson? Notion bien humaine…
à sa reproduction? à sa longévité dans un espace biologique donné?
Au fait qu’il mange ou nage correctement?
Je dirais qu’il est bien plus fiable de se référer à son espace originel de vie… même si souvent le poisson est né en captivité et à vécu en masse dans des espaces restreints, il reste lié à un biotope naturel. Se rapprocher de son biotope d’origine, qu’il a choisi au cours des siècles en termes de dimension, de qualité d’eau ou de nourriture est un gage de réussite.

Vivre dans un espace clos mais sans prédateur est-il garantie de bonheur??? Difficile de répondre à cette question, liberté contre sécurité…..question bien humaine…
Notre travail est de sélectionner des espèces qui entrent dans ces paramètres et qui ont une santé solide, des besoins faciles à combler et une agressivité nulle ou faible.

Comment nourrir et avec quoi ?

La meilleure chose est de faire confiance au distributeur de nourriture. Même si parfois il peuvent se dérégler et engendrer des catastrophe ils restent normalement très fiables Nous vendons un mélange de graines base granulé brun diam 0,4mm mélangé à du tétra prima riche en carotène.

Nous mentionnons dans notre guide d’entretien le dosage exact par type de cuve. On peut une fois par semaine donner un supplément alimentaire, de type cube congelé. Doser précisément. Faire décongeler auparavant et jeter le jus. Eviter les vers de vase ou autre filtreurs. Utiliser par ex de l’artemia ou de la nourriture spécial discus.

Combien d'éclairage ?

Il n’y a pas de réponse exacte. Mais entre 7 heures et 11 heures. La fonction déterminante va être la lumière environnante car si vous n’allumez que le soir, votre cuve subit l’influence de la lumière extérieure durant la journée. De plus tout va dépendre du nombre de tubes et de leur puissance, de leur qualité et de leur spectre. En général on combinera deux éclairages : un de type bleu et un de type rose, sur des durées de 7 à 8 heures pour commencer. Puis en fonction du rythme d’arrivée des algues et de la croissance des plantes on pourra augmenter ou abaisser le temps d’éclairage.

Eau de mer dans un aquaplasma ?

Techniquement et biologiquement est-ce possible?
Nous avons testé pendant plusieurs mois dans tous nos modèles différentes espèces. Finalement seuls les deux modèles l’o et nemo en format 16/9ème ont été retenus pour de l’eau de mer. On a triplé le brassage, modifié les matériaux de filtration et changé les éclairages de tubes t8 à T5, plus puissants.

Pourquoi ne pas mettre de l’eau de mer dans un tableau?
Si on privilégie une population de poissons d’élevage en petits nombres et qu’on a acquis auparavant une expérience importante dans la gestion d’un écosystème, il n’y a pas de raison de ne pas s’ouvrir à un écosystème marin. Un poisson d’eau de mer d’élevage n’a pas plus de valeur et ne requiert pas plus de respect qu’un d’eau douce.
Son écosystème est plus complexe, et il est moins tolérant à une qualité d’eau médiocre. Parfois il est plus difficile à nourrir et souvent il nécessite plus d’espace. Il requiert un entretien plus fréquent donc plus minutieux : plus de changement d’eau, moins d’eau changée à chaque fois, des mélanges sel précis et des test assez nombreux.
Nous avons sélectionné un nombre restreint d’espèces pouvant vivre dans des espaces de tableaux aquariums en petits nombres. Il n’est pas vrai de dire que les poissons d’eau de mer sont plus colorés que ceux d’eau douce, ils sont plus cachés et moins grégaires et vivent rarement dans une surface verticale mais plus proche du sol. Parfois dans la symbiose ils peuvent être passionnants. Il n’est donc pas impossible de cultiver avec succès une faune voire une flore marine, mais c’est une charge de travail importante à déconseiller aux néophytes qui souvent n’engendrera que déception et mortalité importante.